
Comment identifier et cultiver ses forces uniques pour en faire un levier d’accomplissement ? Quelles sont les capacités les plus précieuses à développer pour créer une vie plus libre, plus alignée, plus riche en sens ?
Dans cet épisode, à l'aube de mes 33 ans, je partage avec vous 33 forces que j’ai identifiées et développées au fil des années, et qui font aujourd’hui toute la différence dans ma manière d’appréhender le monde, de penser, de créer et d’agir.
Certaines de ces forces étaient déjà là, enfouies sous les conditionnements. D’autres ont été déconstruites, affinées, cultivées.
✨ Écoute cet épisode pour :
- Prendre conscience de tes forces profondes, celles qui existent déjà en toi mais que tu n’as peut-être jamais appris à voir ni à utiliser pleinement.
- Affûter ta pensée, ta sensibilité et ton intuition, en les comprenant comme des leviers stratégiques plutôt que comme des traits de caractère subis.
- Développer une manière plus large et plus fine d’interagir avec le monde, en articulant intelligence, créativité et perception avec justesse et puissance.
💌 Pour aller plus loin sur ce sujet :
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📅 jeudi 20 mars 2025 ⏱45:17
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Mots-clé de l'épisode :
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Transcription de l'épisode (extrait)
Une autre force que j'ai, que j'ai toujours eu, qui m'a valu beaucoup de critiques, on va se foutre de moi parce qu'on dit, on va dire encore que je suis Bélier, mais je ne sais pas si c'est lié au Bélier ou pas d'ailleurs. C'est de ne jamais attendre que ce soit parfait pour commencer et j'ai toujours cru que ce n'était vraiment pas une qualité quoi, que c'était vraiment un défaut parce que du coup je fonce, voilà je fonce quoi, j'y vais.
Et je vois beaucoup de personnes attendre, perfectionner le truc, peaufiner le truc et au moment de le présenter, eux, c'est vachement mieux, enfin, c'est vachement plus parfait quoi et moi, oui, il y a plein de trucs que j'ai oublié, machin, ce n'est pas parfait quoi.
Mais, le truc c'est que je me rends compte qu'aujourd'hui dans ma vie, alors peut-être qu'à l'école c'était vraiment pas ouf et d'ailleurs on m'a énormément, mes enseignants m'ont vachement reprochée ça à l'école, le fait que je voulais tout le temps aller trop vite.
Et aujourd'hui je trouve que c'est vraiment une force dans ma vie parce que du coup, je sais que la perfection, c'est juste un frein déguisé et que je sais que la perfection, elle ne sera jamais atteinte. On pourra toujours faire mieux, on pourra toujours faire parfait. Ce qui compte, c'est de se lancer, c'est d'y aller, c'est d'aller vite. En tout cas, dans mon monde à moi.
Et on m'a tellement reproché d'aller vite quand j'étais jeune que je me suis dit : « du coup, il faut que je sois parfaite. » Mais ça ne colle pas et aujourd'hui, je sais que c'est le fait que j'ose, j'y vais, je lance, je vais vite, ce n'est pas grave, ce n'est pas parfait, mais on y va. Je veux lancer la machine.
Et je sais que du coup, ça fait que j'ose plein de trucs et je vous redonne un exemple.
Encore une fois, j'ai commencé la danse debout l'an dernier et c'était une cata, mais c'était c'était vraiment une cata quoi. Je ne connaissais rien, je n'arrivais à rien, mais ce n'est pas grave, j'y vais, j'y allais, j'y allais. Et je sais qu'il y a plein de personnes avec qui je parle et il y en a plusieurs avec qui j'ai parlé récemment qui me disaient qu'elles, elles voulaient déjà apprendre à prendre des cours particuliers pour peut-être perfectionner un peu le mouvement avec leur corps, leur lien encore, machin, etc., avant de prendre des cours. Et je comprends complètement le besoin de sécurité, mais c'est ce qui fait qu'aujourd'hui, un an plus tard, elles n'ont toujours pas commencé la danse. Elles sont toujours enfermées dans un lien à leur corps de honte et de « je n'y arriverai pas » et « je suis trop nulle » et « j'ai trop peur du ridicule. »