Avoir une bonne image de soi : Ce que je fais VS ce que je dis

Transcription de l'épisode (extrait)

 Non pas à la fin d'été, je vais arrêter de nous porter la poisse, mais en tout cas, on touche à la fin août, et j'espère que vraiment, vous avez passé un bel été et que tout va bien pour vous. Aujourd'hui, je vous l'avais promis sur Instagram il y a quelques semaines, j'ai envie qu'on explore la différence entre l'image qu'on se fait de soi-même et ce qui se passe réellement.

C'est-à-dire la réalité, la notion de vérité, même si je pense qu'encore une fois la notion de vérité, c'est une notion presque philo à aller explorer dans un prochain épisode, pourquoi pas. Mais en gros, j'ai envie qu'on explore la différence entre l'image qu'on a de soi-même et la réalité, nos actions réelles et ce qu'on est réellement, et ce pour plusieurs raisons, qui est qu'en général, pour la plupart d'entre nous, il y a un très gros gap entre l'image qu'on se fait de soi, ce qu'on dit à propos de soi, ce qu'on raconte à propos de soi, et nos paroles, nos intentions et nos actes.

Puis, ça peut être une différence qui peut être plutôt… Il n'y a pas vraiment de positif, négatif, mais disons qu'on va dire que ça peut être plutôt une différence, soit qui est qu'on se fait une mauvaise image de nous-même, on se rabaisse beaucoup et on ne se perçoit pas comme on est réellement, alors qu'on est quelqu'un de génial. Il faut le dire quand même, et on y reviendra. Ou alors, à l'inverse, il y a une différence entre l'image qu'on se fait où on croit, par exemple, qu'on est hyper discipliné, alors qu'en fait dans les faits, pas du tout.

Voilà. Donc aujourd'hui, l'idée, c'est qu'on essaie de démystifier ça, les auto-illusions, pour sortir du sabotage, sortir de l'auto-sabotage, qu'on prenne ensemble vraiment le temps de voir des clés pour arriver à enfin un peu se responsabiliser, se voir avec un peu plus d'objectivité, même si c'est un exercice qui est très difficile, je vous l'accorde. En tout cas, remettre un peu de vérité au cœur de tout ça, puis surtout, redescendre ou remonter à un point un peu plus réel, pour pouvoir rentrer dans une démarche d'évolution sans pression. Évolution sans pression.

Moi, ce que j'appelle l'évolution sans pression, c'est : Venez, on réduit un petit peu le gap entre ce qu'on croit qu'on est et ce qu'on est réellement, entre ce qu'on raconte et ce qu'on fait vraiment. 

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