Qu'est-ce qui nous rend profondément radieuse, connectée à notre souveraineté et portée par une force de vie ? Comment miser sur nos ressources plus que nos difficultés ? C'est quoi "profiter de la vie " ? Qu'est-ce que signifie vraiment "dévorer sa vie" et comment s'y connecter ? 

📅 jeudi 30 mai 2024 ⏱26:32

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Transcription de l'épisode (extrait)

La seule chose que je peux vous emmener c'est qu'en fait, je crois que j'en suis vraiment fondamentalement convaincue, je crois que le truc qui fait qu'on peut le plus s'affirmer, s'autoriser, exister de manière complètement authentique, suivre nos rêves, affirmer notre étincelle, suivre notre étincelle, être cette femme, alors je dis cette femme parce que je suis une femme et que je m'adresse principalement aux femmes, mais je pense que c'est valable pour tout le monde, mais être cette femme qui s'autorise à boom, faire jaillir sa lumière parce qu'il n'y a pas le temps de faire autrement. Et il n'y a pas d'autre voie que celle-ci.

C'est ça que je veux vous faire passer, c'est que moi, depuis très, très jeune, je ressens ce que j'appelle l'urgence de vivre. Je ne sais pas d'où ça vient et je crois que je m'en fous.

Je ressens cette urgence de vivre, mais déjà depuis toute petite, même à l'âge de cinq ans, six ans, sept ans, huit ans, quand j'étais en train de faire quelque chose, je demandais tout de suite à mes parents : « Oui, mais après, ok, c'est quoi ? »

Pour être sûre que j'allais bien pouvoir tout faire, bien profiter de tout et de savoir quelle était la manière dont j'allais profiter du moment et est-ce que j'avais bien le temps de me saisir de tout ce qui se passait.

Je voulais être sûre de pouvoir vraiment tout bouffer de l'instant qui se déroulait avec moi et de m'assurer qu'après, il y aura encore un autre instant comme ça.

C'est cette urgence de vivre de, je refuse de passer à côté de ma vie. Je refuse, mais ce n'est pas moi, genre « non, je refuse ». C'est tout mon être. Il y a une angoisse, une peur et une sensation d'urgence de c'est impensable pour moi de ne pas profiter de ma vie.

Il y a presque une part de moi qui refuse de perdre du temps, mais crois que c'est je refuse de dépenser mon temps et de perdre du temps dans des trucs qui sont pas vivants, pas intense, en fait. Je crois que c'est ce truc-là.

Mais même dans la douleur, c'est ok d'avoir des douleurs, c'est ok d'avoir des journées pourries, c'est ok tout ça ? mais en fait, c'est ok, là, je suis vraiment en vie. Vous voyez, il y a vraiment cette notion de je veux vivre et je veux vivre à fond. Et je ressens une urgence de ça.

C'est-à-dire que même dans les moments, dans les périodes où personne n'a envie de ne rien faire, personne n'a envie de bouger, personne n'a envie de rêver, il y a vraiment cette notion-là, ça m'est arrivé régulièrement d'être entourée de personnes qui n'avaient jamais envie de rêver et qu'à chaque fois que je proposais des choses, on me dit : « Oui, trop bien, il faudrait qu'on fasse ça », mais au moment de les faire, il n'y a jamais personne.

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