Pourquoi suis-je déçu(e) alors que j’avais tellement envie d’y croire ?
Comment mieux vivre les moments où mes attentes ne sont pas comblées ?
La déception peut-elle être un moteur plutôt qu’un frein dans ma vie ?
Dans cet épisode, je te propose de voir la déception autrement : non pas comme une fatalité ou une faiblesse, mais comme un reflet de ta capacité à rêver grand, à t’ouvrir à la vie et à entrevoir le potentiel en chaque expérience. Ensemble, nous allons explorer comment transformer la déception en une force pour avancer avec plus de conscience et de liberté.
Écoute cet épisode pour :
- Découvrir pourquoi la déception est un signal de ta connexion à l’espoir et au vivant.
- Apprendre à naviguer tes émotions sans te laisser submerger.
- Repartir avec des outils concrets pour accueillir la déception et t’en servir comme levier de transformation personnelle.
💌 Pour aller plus loin sur ce sujet :
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📅 jeudi 28 novembre 2024 ⏱34:47
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Mots-clé de l'épisode :
dev persodéveloppement personneldéceptionêtre déçu.eje suis déçufrustration
Transcription de l'épisode (extrait)
Il y a une question qui se pose. Enfin, il y a plusieurs questions qui se posent :
« Est-ce que pour éviter d'être déçu, il faut que je rabaisse mes standards ? »
La réponse, vous la connaissez, pour moi, c'est non. Je préfère être déçue éternellement que d'avoir moins d'attentes et, du coup, moins espérer de la vie alors que ce n'est pas possible, surtout quand on a conscience de tout ce qu'elle peut nous offrir. Donc, rabaisser ses standards, pour moi, c'est non, mais encore une fois, c'est un choix personnel, chacun fait ce qu'il veut.
Et l'autre question, qui est sous-tendue, c'est : « Comment fait-on, du coup, pour ne pas être déçu quand on n'a pas les mêmes attentes d'une situation que les autres, ou d'une relation, par exemple, que les autres ? Comment est-ce qu'on fait que pour avoir la sensation de profiter à 100 % d'un moment et d'en saisir, bien, tout le jus et toute la substance ? »
C'est quand même quelque chose dont je parle souvent, quand nous, à 100 %, quand les autres ne la saisissent qu'à 50 %.
Je pense qu'il y a plusieurs réponses possibles. Je ne peux partager que celles qui sont liées à mon expérience, ça va dépendre de nos valeurs.
Moi, dans mes valeurs, il y a la notion de partage. Ça me crée de l'émotion de dire ça aussi, mais c'est que je ne peux pas. Ce n'est pas envisageable, ce n'est pas que je ne veux pas, c'est que c'est quelque chose qui ne fonctionne pas dans mon corps. Ce serait me mentir à moi-même que de le faire. Je n'arrive pas à saisir toute la beauté d'un moment, et le potentiel d'un moment, et le jus d'un moment, si je ne le partage pas avec quelqu'un qui ressent la même chose que moi.
Ça me crée de l'émotionnel, parce que forcément, à ça est rattachée forcément de la solitude. Et quand on est déçu, c'est qu'il y a aussi de la solitude derrière.
Je vous donne un exemple : quand on regarde un super beau coucher de soleil, je pourrais le regarder seule, c'est le même coucher de soleil que le regarder avec quelqu'un. Sauf que moi, le fait d'avoir quelqu'un vers qui me tourner et voir dans ses yeux qu'il voit bien la même chose que moi et que ça l'émerveille tout autant que moi, ça démultiplie le moment par 10 000 et ça me donne vraiment la sensation que là, c'est bon, j'ai bien profité du moment.