En quoi notre cycle féminin joue sur notre psychologique, comment pouvons nous mieux le vivre, et rythmer notre quotidien en s’écoutant mieux ? ⠀ 

📅 jeudi 20 février 2020 ⏱25:49

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Transcription de l'épisode (extrait)

Pourquoi n'ai-je jamais trop osé aborder ce sujet ? Ce côté lié à la féminité, au féminin sacré, à la sexualité, c'est une partie que j'ai oublié pendant très longtemps. Je l'ai même négligé, je l'ai abandonné, je n'y ai pas vraiment prêté attention. Mais également mon confort gynécologique, ma santé, mon écoute intérieure au niveau du féminin sacré.

C'est vraiment quelque chose que j'ai négligé pendant des années où j'ai eu beaucoup de soucis et je n'ai pas cherché à me soigner de façon naturelle, à traiter la cause. J’ai toujours voulu traiter les symptômes et aujourd'hui je me suis complètement reconnectée.

Cette écoute intérieure et ce travail de reconnexion avec mon féminin sacré m’a permis de comprendre plus de choses là-dessus. Pendant longtemps, j'ai eu des cycles irréguliers. J'ai commencé à prendre la pilule quand j'avais 15 ans car j'avais des règles extrêmement abondantes, douloureuses et irrégulières (on suspectait de l’endométriose). La solution que beaucoup de gynécologues donnait était la pilule.

Aujourd'hui, il y a peut-être des gynécologues qui proposent d'autres alternatives. Mais en ce qui me concerne, j'ai pris la pilule étant jeune et j'ai eu beaucoup de problèmes gynécologiques jusqu'à mes 20 ans : des mycoses à répétition, des infections urinaires. C'était un enfer : j'avais des infections urinaires deux fois par mois dont plusieurs ont dégénérées en pyélonéphrite (infection urinaire qui remonte jusque dans les reins).

Gynécologiquement parlant, ça a été très difficile pour moi et je ne l'ai pas forcément écouté. Je ne me suis dit à aucun moment que cela signifiait peut-être quelque chose. Je me disais que ce n'était que des symptômes, que je devais prendre des antibiotiques.

Aujourd'hui, je réagis de façon totalement différente. J'ai commencé à prendre en compte ce que mon corps me dit et notamment jusqu'à la dernière alerte, l'année dernière, en 2019, au mois de juillet : on m'a diagnostiqué un papillomavirus.

C’est aujourd'hui pour moi le signe qu'il fallait que je reprenne conscience de cette partie-là de moi. Et c'est ce que j'ai fait. Je suis toujours suivi pour ça et advienne que pourra.

Ce qu'il faut comprendre c'est que pour tout l’aspect gynécologique, la notion de psychologie est extrêmement importante. Le gynécologique est très lié au mental, au psychique. Mes infections urinaires ont souvent disparu du jour au lendemain alors que je les traitais par antibiotiques tous les mois. Elles ont disparu du jour au lendemain à partir du moment où j'ai quitté mon ex-partenaire et où j'ai changé de métier.

En faisant beaucoup de recherches, je me suis rendue compte que c'était très lié au fait que je ne me sentais pas chez moi et que je ne me sentais pas respectée. C'est très souvent le cas pour les femmes qui ont des métiers itinérants, j'étais directrice commerciale.

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