Se laisser le temps d'intégrer les choses

Transcription de l'épisode (extrait)

Vous commencez à avoir l’habitude, cet épisode n’est pas préparé, ce sera très spontané. C’est un discours que j’ai déjà tenu dans mon channel Télégram la semaine dernière. Si vous ne faites pas partie de ce channel, je vous conseille de le rejoindre car j'aborde plein de choses de façon spontanée sur des enseignements de pleine conscience, sur des pensées et c’est un moyen d’interaction directe avec vous, je réponds à vos questions, etc. 

Je me reconnais de moins en moins sur les réseaux sociaux, c’est génial pour avoir de la visibilité mais j’ai vraiment besoin de plus de profondeur dans les relations et j’ai aussi du mal à me retrouver sur les plateformes comme Instagram, etc. Je trouve Télégram très sincère. Et j’adore aussi le podcast car vous êtes concentré•e•s uniquement sur ma voix, vous n’êtes pas distrait•e•s par mon image, ce que je renvoie. Il y a moins de biais, moins de jugements que ce soit positif ou négatif. Le message pénètre mieux dans la conscience, le subconscient. On bouge plus de choses en profondeur et dans la matière avec la voix et sans la vue, sans observer quelque chose. 

La vidéo, c’est génial pour d’autres formats. Bref, on pourrait faire un podcast entier sur ce sujet, par rapport au conditionnement que l’on a sur le fait de voir les choses et de les juger. Dans le channel Télégram, j’ai fait un vocal qui parle d’intégration. J'expliquais qu’en ce moment, j’ai beaucoup de choses à partager car je traverse beaucoup d’événements, agréables ou désagréables, d’enseignements. Cela fait partie de mon chemin, je suis en train de guérir des blessures qui étaient très profondes et qui sont béantes, même en terme collectif, notamment autour du féminin. Même si cette blessure était quelque chose que j’avais guérie, je me rends compte de l’ampleur de cette blessure dans le collectif, cette blessure énorme du féminin. Je pense que je ferai un épisode entier dessus. 

En ce moment, j’ai beaucoup de choses à partager, seulement, je sens que ce n’est pas encore le moment pour moi de le faire. J’ai besoin de les intégrer de prime abord. J’ai plus envie d’être en repli sur moi, dans une phase de contraction où je digère toutes ces informations, ces enseignements, ce travail pour que ça se trie et que ça aille là où ça a besoin de se mettre, que ce soit dans mon esprit, mon corps ou mon énergie. J’ai besoin de l’intégrer dans chaque partie et plan de mon être. 

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